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· Juin 6 3m de lecture

Un coup de poids

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Tel un coup de grâce, sans laisser aucune chance à l'adversaire, Kubernetes, plateforme open source, offre un univers de possibilités grâce à sa disponibilité (c'est-à-dire la facilité d'accès au support, aux services et aux outils). Cette plateforme permet de gérer les tâches et les services dans des conteneurs, ce qui simplifie grandement la configuration et l'automatisation de ces processus.

Justifions l'image du titre et donnons à l'outil en question le nom « correct » : InterSystems Kubernetes Operator.

Le principe est simple : vous choisissez les services et définissez les règles du jeu (en faisant ici encore référence à Knockout), et tout est fourni de la manière la plus transparente et la plus efficace possible, que ce soit pour l'installation, la réparation ou la restauration éventuelle, lorsque les exigences prédéfinies ne sont pas respectées.

Mais qu'est-ce qui différencie IKO des autres opérateurs ? En tant qu'extension de l'API Kubernetes (appelons-la K8s pour faire court), le composant personnalisé IrisCluster permet de déployer un cluster IRIS verrouillé, un cluster Caché distribué ou même une instance anonyme. Le tout sur les plateformes Kubernetes les plus diverses. Enfin, il intègre des fonctionnalités de gestion de cluster InterSystems, permettant d'automatiser certaines tâches en ajoutant des nœuds, ce qui auparavant ne pouvait être réalisé que manuellement.

Tout cela est bien beau, cela fait référence à un sport ou à un jeu, mais pourquoi en ai-je besoin ? La réponse est relativement simple. Je n'ai pas besoin d'IrisCluster pour intégrer InterSystems IRIS à K8s. Cependant, comme K8s est une application autonome, il serait nécessaire de créer les définitions et les éventuels scripts pour configurer ces instances IRIS. IKO automatise ainsi ce processus, facilitant ainsi la maintenance. L'utilisation de conteneurs est un excellent moyen de regrouper ces activités.

Mais, profitant de cette opportunité, savez-vous ce qu'est un conteneur ? Un indice : ce n'est pas qu'un jeu de société.

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La réponse est bien plus liée au « transport » d'un package, car il empaquete et isole les applications et les services afin qu'ils puissent être exécutés séparément du reste. Cela facilite le « transport » d'un environnement à un autre, selon les besoins.

En exploitant la vaste documentation d'InterSystems, vous trouverez ci-dessous le lien vers l'installation d'IKO et les étapes de configuration et d'ajustement qui s'ensuivent.

https://docs.intersystems.com/components/csp/docbook/DocBook.UI.Page.cls...

Pour que personne ne s'interroge sur le surnom K8s, le nom Kubernetes vient du grec et signifie ni plus ni moins que pilote ou timonier, autrement dit, celui qui dirige. Le nombre de caractères entre les lettres « K » et « S » est de 8. D'où le nom « K8s ».

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